siewicz
Partis pour un weekend au Bourget, le constat est sans appel. Il y fait trop chaud. Loin de notre Tarentaise tempérée (encore que), il va nous falloir monter en altitude ce dimanche pour échapper au mercure approchant les 40 degrés dans le fond du bassin chambérien. L'alternative étant les plages bondées du lac, le choix est vite fait.
Un bref coup d'oeil sur la carte et nous pointons le Mont Colombier du doigt. Un passage à la boulangerie et c'est parti. Le départ est en forêt et la fraîcheur qui y règne à 9h nous ravis. Nous déchantons dès que nous passons au dessus des arbres, là, c'est la fournaise.
Heureusement en approchant du col de la Cochette, une légère brise se soulève. Ça sauve les meubles au moment où il faut attaquer les 300m qui nous séparent du sommet. Le chemin suit la falaise d'un côté et surplombe une belle pente fuyante (à skier un jour ?) de l'autre. Au sommet, il y a du monde ; une trentaine de personnes ont dû passer là haut ce jour, mais l'on décide d'y rester pour le pic nic car il fait enfin une température acceptable ! On souffle.
La descente face ouest est très esthétique entre les hautes herbes, les roches sedimentaireset... un troupeau de chèvre, qui change d'endroit (et manque de nous embarquer), guidé par deux patous missionés et imperturbables. Un cabris ayant trop trainé se retrouve coupé du troupeau et bêle alternativement vers son troupeau et vers nous. Nous sommes les plus près, il vient à nous.
Sans succès, nous avons essayé de lui montrer le chemin de son troupeau mais il nous suivra jusqu'à la bergerie où il sera repris entre les bonnes mains du berger, nous permettant de retourner dans la vallée en prennant les chemins les plus ombragés. Une chouette journée !
Un bref coup d'oeil sur la carte et nous pointons le Mont Colombier du doigt. Un passage à la boulangerie et c'est parti. Le départ est en forêt et la fraîcheur qui y règne à 9h nous ravis. Nous déchantons dès que nous passons au dessus des arbres, là, c'est la fournaise.
Heureusement en approchant du col de la Cochette, une légère brise se soulève. Ça sauve les meubles au moment où il faut attaquer les 300m qui nous séparent du sommet. Le chemin suit la falaise d'un côté et surplombe une belle pente fuyante (à skier un jour ?) de l'autre. Au sommet, il y a du monde ; une trentaine de personnes ont dû passer là haut ce jour, mais l'on décide d'y rester pour le pic nic car il fait enfin une température acceptable ! On souffle.
La descente face ouest est très esthétique entre les hautes herbes, les roches sedimentaireset... un troupeau de chèvre, qui change d'endroit (et manque de nous embarquer), guidé par deux patous missionés et imperturbables. Un cabris ayant trop trainé se retrouve coupé du troupeau et bêle alternativement vers son troupeau et vers nous. Nous sommes les plus près, il vient à nous.
Sans succès, nous avons essayé de lui montrer le chemin de son troupeau mais il nous suivra jusqu'à la bergerie où il sera repris entre les bonnes mains du berger, nous permettant de retourner dans la vallée en prennant les chemins les plus ombragés. Une chouette journée !
Activité pratiquée : Randonnée
Lieu :
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